Restauration de la pêcherie – les travaux

2024 – Les débuts

Rejoints par Emilia Vian Lierde en début d’année, le groupe de travail profite des mois d’hiver pour dresser un calendrier des chantiers et réaliser des supports de communication. De son côté, Didier Neault a présenté le projet aux artisans et commerçants locaux qui ont accueilli le projet de restauration avec enthousiasme, participant même à l’acquisition de matériels et de supports de communication.  

 

Au mois de mars, avec le retour des beaux jours, les premiers essais grandeur nature sont organisés. Mauvaise nouvelle du coté administration, les règles ont changé. La demande d’occupation du territoire doit être révisée.

 

Le chantier est momentanément stoppé le temps que la nouvelle demande soit étudiée. Mais il en faut plus pour entamer la motivation de nos bénévoles. Des tests de faisabilité sont organisés pour affiner les méthodes de travail. Ces tests permettent également d’étayer la demande d’occupation du territoire en prouvant que les travaux n’ont pas d’impact négatifs significatifs sur la biodiversité du site.  

En septembre, c’est Sarah Iriout, également en volontariat qui reprend le flambeau du projet pêcherie toujours accompagnée de l’homme de la situation : Didier Neault.

 

 

2023 – L’enquête préalable

Au cours de l’été, Alexandra Bretel et Max Lie postulent pour un stage au sein du Groupe Associatif Estuaire sous la tutelle de Didier Neaut. Ils sont chargés de faire les premiers relevés faune et flore. Leurs travaux permettent de choisir la pêcherie à restaurer.

En parallèle de leur étude, un premier test de faisabilité est organisé en juin. Un dossier de demande d’occupation du territoire est constitué et envoyé.

En septembre, Adrien Monteiro rejoint le projet pêcherie comme volontaire. Il est chargé de faire le lien entre le GAE et les bénévoles. Des groupes de travaux émergent en fonction des besoins et la formation des référents s’organise. 

En fin d’année, une conférence est organisée à la salle du Manoir à Talmont-Saint-Hilaire pour présenter le projet au grand public.

 

 

2022 – La naissance du projet 

Camille Laurent, Volontaire en Service Civique a Estuaire soumet l’idée de restaurer une pêcherie de l’Anse de la République.

Jack Guichard, à la tête de l’initiative « Sentinelles de l’Estuaire » et Didier Neault, bénévole du « Groupe Associatif Estuaire »  proposent de constituer un groupe de travail.

Le GAE soumet son projet à la fondation Banque Populaire Grand Ouest qui accepte de soutenir financièrement la restauration de la pêcherie. La machine est lancée !